23 avril 2024
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Le groupe Benamor nie avoir transféré illégalement des devises

Des soupçons planent sur lui

Le groupe Benamor nie avoir transféré illégalement des devises

Dans un communiqué, le groupe Benamor nie avoir transféré illégalement des devises vers un autre pays étranger. Il émet à cet effet un communiqué, dans le quel il explique qu' »en date du 08/04/2019 une chaine de télévision étrangère a diffusé une émission qui accusait le groupe Amor Benamor, par la voix d’un journaliste algérien, de violations et irrégularités présumées commises via une société installée en Suisse dont l’objet serait de transférer illégalement des devises vers l’étranger.

– la même émission se penchait sur le cas de la boulangerie industrielle de Corso, enchaînant les contre-vérités sur l’historique du projet, et ses modalités de développement.

Le groupe Amor Benamor dément catégoriquement toutes les accusations et allégations calomnieuses, diffamatoires et téléguidées proférées à l’antenne de cette chaîne de télévision. Et note avec ironie que l’entreprise Amel TV est elle- même installée à Genève, à la même adresse qu’un autre média algérien.

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Le groupe Amor Benamor met en demeure cette chaîne de télévision et les journalistes qu’elle emploie de présenter la moindre preuve sur la véracité de ces allégations mensongères. », affirme le groupe Benamor.

Par ailleurs, il affirme que  » la société General Food Company a été créée en Suisse dans le but de commercialiser et distribuer les produits du groupe Amor Benamor en Europe. Toutes ses factures sont réglées en devises. Elle n’a vendu ni produits ni équipements du groupe. Ses comptes sont certifiés chaque année. Et consultables en toute transparence. Le groupe Amor Benamor demeure entièrement disposé à présenter les bilans prouvant ces vérités.

Le groupe Amor Benamor précise aussi, en ce qui concerne la boulangerie industrielle de Corso que le projet a été lancé dans le cadre d’un partenariat légal avec le groupe public ERIAD Alger, concrétisé par la création d’une société à capitaux mixtes qui a bénéficié d’un crédit bancaire. Après la rupture légale de ce partenariat pour des raisons détaillées par voie de presse et à diverses reprises par le président du groupe, le groupe Amor Benamor a supporté la valeur du crédit bancaire et a enregistré des pertes fatales. », conclut le Groupe

Auteur
La rédaction

 




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