28 mars 2024
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L’instinct de mère reprend-il le dessus sur l’instinct bestial ?

Lettre de mères de djihadistes à Emmanuel Macron

L’instinct de mère reprend-il le dessus sur l’instinct bestial ?

Des jeunes mères djihadistes viennent d’écrire au Président Emmanuel Macron afin qu’elles puissent être rapatriées en France et assumer leurs actes devant la justice française. Elles viennent de se rendre compte de la signification d’une démocratie et de ses lois alors qu’elles ont commis l’innommable pour la détruire.

Il faut immédiatement poser un point préalable. Ce n’est pas l’instinct humain qui a soudain réveillé ces jeunes femmes. Dans un état de barbarie, seule la force est le langage de ceux qui se sont extraits de l’humanité.

C’est une violence légitime, celle des armées républicaines de nombreux pays, qui a enfin mis à genoux et hors d’état de nuire ces femmes qui se sont vautrées dans le crime et l’animalité. Et ce n’est que cet état de fait qui les a fait réagir pour protéger leurs enfants d’une situation déplorable dans laquelle elles se sont placées volontairement.

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Et cette peine de mort dont elles ont fait la base de leur lutte au nom d’une mission sacrée, les voilà confrontées à elle si elles ne bénéficiaient pas d’un rapatriement urgent en France. C’est le langage de la bestialité qu’elles comprennent, pas celui de l’humanité. Et l’instinct de survie est aussi partagé par les bêtes sanguinaires.

Elles ont délibérément choisi de se lier à une barbarie des plus atroces pour un texte sacré dont elles ne comprennent même pas le moindre mot. Leur exaltation psychiatrique les a menées jusqu’au bout de l’horreur absolue.

Elles ont participé aux pires abominations, dont la propagande pour le meurtre. Elles ont fait l’apologie des vidéos mettant en scène des égorgements collectifs. Elles ont prêté leur voix aux messages de mort afin que des innocents perdent leur vie.

Mais aujourd’hui, elles estiment que la justice française est des plus douces pour elles et leurs enfants, quelle que serait la lourdeur des peines.

Ces enfants qu’elles ont eues, ils proviennent de mariages à répétition avec des rustres que légitime l’article 8 du Code algérien de la famille. Ces enfants sont nés d’une orgie indescriptible, dans une barbarie sans limite.

Pourtant, nous restons des êtres humains et des démocrates. Ces enfants sont innocents et doivent impérativement être protégés par la république. Ils n’ont fait aucun mal et leur innocence est intacte. Ils doivent être rapatriés et mis en sécurité, aussi bien sur le plan de la santé que moral.

Ces femmes sont de nationalité française, de familles musulmanes ou non, qu’importe car la république protège mais ne reconnaît officiellement aucun culte. Dans une démocratie, le droit est valable pour les pires monstres car la justice a un objectif double, celui de punir mais aussi de ramener vers l’humanité des égarés, mêmes ceux qui sont allés dans des contrées lointaines où l’humanité n’a pas cours.

Pour toutes ces raisons, le Président Emmanuel Macron ne peut ni ne doit se soustraire de sa mission de tout faire pour que ces femmes soient jugées par les lois de ce qui reste, malgré tout, leur pays de plein droit.

Mais ceci étant dit, la loi permet aux autorités judiciaires et administratives de soustraire des enfants des mains de mères indignes et dangereuses. Et nous sommes, dans ce cas précis, au paroxysme de la définition du danger pour autrui, à fortiori envers des enfants.

Alors, que la loi de la république s’applique dans toute sa sévérité et légitimité. De très lourdes peines pour les mères et une protection par éloignement définitif des enfants innocents.

C’est cela, notre leçon aux barbares, pas leur répliquer par une bestialité qui est en eux.

Auteur
Sid Lakhdar Boumédiene, enseignant

 




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